Ce que je pense de certains individus qui sont malhonnêtes intrinsèquement parlant, pour une raison ou une autre et qui déboussole la société emplie de malhonnêtes. Les difficultés cognitives, comme les biais de surévaluation et d’auto-estimation, peuvent devenir des critères de vulnérabilité sociale lorsqu’elles altèrent durablement la capacité d’une personne à évaluer sa situation, ses besoins ou ses limites. Ces biais conduisent à surestimer ses compétences, ses ressources ou la maîtrise d’un contexte, ce qui peut freiner l’accès à l’aide, compromettre la prise de décision et augmenter l’exposition aux risques financiers, professionnels ou relationnels. Lorsqu’ils s’installent et interfèrent avec l’autonomie, ils peuvent empêcher une gestion adéquate des démarches administratives, des obligations quotidiennes ou de la santé. Dans ces situations, ces troubles cognitifs ne définissent pas la personne, mais ils constituent un indicateur pertinent pour reconnaître un besoin d’accompagnement renforcé. Ils permettent d’identifier des difficultés invisibles qui justifient un soutien social adapté, visant à restaurer la stabilité, l’accès aux droits et la participation pleine à la vie sociale. Les personnes biaisées sont cas sociales.